Orjubin Evolution

Des hommes, des valeurs, une mission : votre forêt

Ce que nous apportons :

Les paysages de notre pays sont divers et variés. Cependant, la plupart de ceux-ci portent l’empreinte de l’homme. Ces empreintes témoignent de l’occupation d’un territoire modelé par un savoir-faire tout au long des siècles. La fin des années 90 constitue un tournant pour la sylviculture de plaine. À cette époque les moyens mécaniques lourds se généralisent et font disparaître peu à peu l’homme et un savoir-faire de nos forêts. Bien que ces moyens soient nécessaires, les décennies qui se sont écoulées depuis ont démontrées que la main experte du sylviculteur restait déterminante pour que des forêts trop petites ou trop peu accessibles soient gérées avec pertinence.
Orjubin Evolution entend connecter ces forêts à des hommes formés portant des valeurs aussi solides et durables que nos bois.

Ce qui nous caractérise :

Bien qu’essentiels, ces travaux sont connus et éprouvés. L’approche forestière d’Orjubin Evolution voit plus loin et considère les problématiques dans leur intégralité. L’exécution d’un programme de gestion forestière ne va pas forcément de soi en raison de contraintes diverses (géographiques, hydro-morphiques etc.). Grâce à ces méthodes adaptées, l’impact sur le milieu est moindre, les frais de remise en état sont donc minimisés. De plus, en faisant le choix d’un matériel léger et peu onéreux, les coûts sont plus faibles qu’avec un matériel plus conséquent. Une autre particularité d’Orjubin Evolution est de valoriser le «vivant» , et plus généralement le patrimoine (environnemental, paysager, historique etc.). À l’inverse d’une logique consumériste, notre approche a été développée par Pro-Sylva, puis reprise par la permaculture : d’abord observer la nature puis travailler avec ce qu’elle offre. Plus qu’une entreprise, Orjubin Evolution développe en son sein des valeurs fortes telles que la loyauté, le courage et l’engagement. Cet engagement est plus qu’un travail, c’est une mission.

Le bois est l’une des rares ressources renouvelable à l’infini : c’est donc une valeur d’avenir. En cette période de bouleversements économiques et écologiques, il est indispensable de produire du bois de qualité. Pour cela, Orjubin Evolution vous propose ses services pour vos travaux sylvicoles :

Parcs et jardins :

En milieu urbanisé, la croissance et l’expansion naturelles d’un arbre, si elles ne sont pas anticipées peuvent devenir problématiques. La « taille de maintien », inspirée de méthodes japonaises, permet de maintenir l’arbre dans un « volume limité » tout en lui conservant une allure naturelle et esthétique. C’est ce que nous avons fait à Theix, avec la taille d’un pin pignon. Dans un environnement recevant du public ou auprès de constructions, les arbres ayant atteint une certaine dimension posent parfois des problèmes de sécurité ou de nuisances. Il est donc justifié d’envisager leur abattage. Le recours à des méthodes que l’on rencontre plus habituellement en forêt peut être pertinent. Le chantier de Josselin en est une illustration.

La plantation :

Elle a pour objectif d’installer sur une parcelle des plants sélectionnés. Elle assure le renouvellement de la forêt lorsque la régénération naturelle est insuffisante ou inadaptée. Le chantier de Saint Congard nous illustre les caractéristiques de ce type de réalisation.
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La taille de formation et les élagages :

La taille de formation est essentielle puisque c’est elle qui forme l’axe de l’arbre, qui, après élagages, constituera la bille de pied dans laquelle se situe une grande partie de la valeur de l’arbre, cette opération concerne les feuillus. L’élagage de pénétration consiste à couper les branches sur une hauteur d’environ 2 mètres pour circuler avec moins de difficultés dans les peuplements résineux. L’élagage sylvicole consiste à enlever systématiquement les branches de la bille de pied sur une hauteur définie. Dans la mesure du possible, le travail s’effectue par étapes successives de façon à suivre la croissance de l’arbre sans l’affaiblir. Pour les feuillus, l’élagage ne remplace en aucun cas la taille de formation.

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Le nettoiement et le dépressage :

Le nettoiement consiste à supprimer les arbres concurrents, mal conformés ou en mauvais état sanitaire au profit des arbres objectifs dans l’étage dominant. Elle garantit le maintien d’une biodiversité. Cette intervention concerne de jeunes peuplements dont la hauteur est comprise entre 3 et 10 mètres. Le dépressage est une première sélection qui réduit la densité au profit de tiges bien conformées. Il favorise la croissance en diamètre. Si cette opération est menée à temps, elle améliore la stabilité du peuplement, elle permet de limiter la concurrence au niveau des racines, du sol, de l’eau et de la lumière. Cette intervention concerne de jeunes peuplements dont la hauteur est comprise entre 3 et 10 mètres. Notre intervention à Ruffiac (56) est un bon exemple de chantier de dépressage.
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Le bois de chauffage :

Avec l’apparition d’appareils de chauffage au bois performants (chaudières, poêles), le bois de chauffage connait aujourd’hui un développement non négligeable. Le propriétaire forestier peut souhaiter commercialiser lui-même un produit finit. Irvin a la capacité de façonner ce produit sous la forme pratique de ballots de 1 stère (en 1M) ou en « vrac » aux dimensions désirées par le propriétaire.

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Le dégagement :

Le dégagement a pour objectif d’assister et de favoriser le développement des essences objectifs en contrôlant la végétation concurrente. Il garantit une densité suffisante de tiges des essences objectifs ou de substitution qui constitueront le peuplement final. Il- contribuera à la biodiversité par une densité adaptée des essences d’accompagnement.

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L’exploitation :

La mécanisation lourde apporte une solution globale à l’exploitation forestière mais n’est pas toute la solution. Avec les microtracteurs et la traction animale, des formules complémentaires ou alternatives peuvent être appliquées.

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Le diagnostic

Il existe une classification très variée de peuplements forestiers allant de cas simples (futaie comportant une seule essence d’un même âge) à d’autres beaucoup plus complexes (futaie de plusieurs essences avec des âges différents et du taillis). On peut également y superposer des problématiques particulières comme les risques de feu de forêt, la protection des eaux, l’accueil du public et bien d’autres. Il peut donc être nécessaire de poser un diagnostic pointu pour envisager une stratégie adaptée.

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La valorisation des ressources :

Pour que des écosystèmes fonctionnent bien il faut qu’ils soient connectés. La forêt n’est qu’un écosystème parmi d’autres. La gestion de celle-ci peut pour un meilleur fonctionnement être envisagée dans une vision plus large comprenant les zones agricoles, les rivières, plans d’eau, les zones humides, la faune sauvage, la mise en valeur du patrimoine qu’il soit naturel, bâti ou historique, l’accueil du public etc… Des solutions peuvent être développées pour que ces données soient autant de ressources considérées comme des atouts et non des contraintes. Ce peut être le maraîchage, le pâturage sous couvert, l’aménagement de sentiers ludiques pour canaliser le public aux endroits appropriés… Par la superposition de tels moyens, des milieux trouvent ou retrouvent une symbiose.

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