Où ? : Saint Congard (56)
Quand ? : Décembre 2017
- L’exploitation avait lieu sur de fortes pentes.
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- Elle s’est étalée dans le temps (au moins un an), de ce fait la végétation et notamment les rejets de châtaigniers étaient repartis avec vigueur.
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- Lors de l’exploitation il a été constaté que le châtaignier était de qualité médiocre, c’est la raison pour laquelle il a été décidé de planter d’autres essences.
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- Les rémanents n’ont pas été andainés et représentaient donc une contrainte importante.
Il a fallu procéder en deux temps :
- Ouvrir des espaces parmi les rejets et les rémanents. Ceux-ci se sont traduits par des bandes dans le sens de la pente d’environ 5m de large. Durée de cette opération : environ trente heures.
- La plantation ainsi que la pose de protections ont compté environ trente heures, également en raison des conditions évoquées précédemment.
- Arbres installés : 400 pins maritimes, 100 pins laricio, 100 cèdres de l’Atlas (le tout en motte), 100 chênes sessiles (racines nues).
- Les rémanents n’ont pas été andainés et représentaient donc une contrainte importante.
Il a fallu procéder en deux temps :
- Pour les protéger du gibier, les chênes ont été équipés de gaines « climatic » 120 cm, les pins laricio et cèdres d’ « arbres de fer ». Le pin maritime étant, avec le recru naturel, bien représenté, il n’a pas été jugé utile de les protéger.